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Le conseiller de Trump, M. Navarro, rejette les insultes de M. Musk et déclare : "On m'a traité de pire"
information fournie par Reuters 13/04/2025 à 18:54

((Traduction automatisée par Reuters, veuillez consulter la clause de non-responsabilité https://bit.ly/rtrsauto))

Le conseiller commercial de la Maison Blanche, Peter Navarro, a balayé les insultes d'Elon Musk dimanche, déclarant que "Elon et moi sommes formidables" après une prise de bec publique au sujet des tarifs douaniers globaux du président Donald Trump 's sweeping global tariffs .

Musk, le directeur général milliardaire de Tesla TSLA.O et proche allié de Trump, a traité Navarro de "crétin" au début du mois après que le conseiller commercial a rejeté la demande de Musk pour des "tarifs zéro" entre les États-Unis et l'Europe. M. Navarro avait qualifié M. Musk d'"assembleur de voitures" dépendant de pièces automobiles importées.

Interrogé sur cette tension lors de l'émission "Meet the Press" de la chaîne NBC, M. Navarro a déclaré: "Ce n'est pas un problème"

même s'il vous a traité de "crétin" et de "plus bête qu'un sac de briques", a insisté le présentateur de la chaîne NBC.

"J'ai été traité de pire", a répondu M. Navarro.

"Tout va bien avec Elon. Elon fait du très bon travail avec son équipe en matière de gaspillage, de fraude et d'abus", a-t-il ajouté. "C'est une énorme contribution à l'Amérique, et aucun homme faisant ce genre de choses ne devrait voir ses voitures incendiées par des fous", faisant référence au vandalisme contre les infrastructures et les bureaux de Tesla en réponse à l'activisme d'extrême droite de Musk.

M. Trump a nommé M. Musk, la personne la plus riche du monde, pour qu'il réduise les dépenses du gouvernement américain et les effectifs de l'administration fédérale. L'approche brutale de M. Musk à l'égard des licenciements massifs de fonctionnaires a suscité un malaise croissant dans tout le pays. Près de 200 000 employés ont été licenciés, ont fait l'objet d'une procédure de licenciement ou ont accepté des rachats d'entreprise.

Cette semaine, la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, a minimisé l'affrontement public en affirmant qu'il s'agissait d'une divergence d'opinion sur les tarifs douaniers et que "les garçons seront les garçons"

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